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Libertad o tiranía

Libertad o tiranía

Agenda 2030
par Cristina Martín Jiménez 2024 493 pages
4.11
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Points clés

1. L’Agenda 2030 : Un Cheval de Troie pour la Tyrannie Mondiale

Bien que les principes sur lesquels repose l’Agenda soient légitimes et raisonnables, cet ouvrage distingue clairement le message de l’intention qu’il dissimule.

Une façade trompeuse. Présentée par l’ONU en 2015 avec ses 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) comme « un plan d’action en faveur des personnes, de la planète et de la prospérité », l’Agenda 2030 est en réalité une vaste campagne de propagande. Son objectif déclaré d’éradiquer la pauvreté et d’atteindre un monde durable masque une agenda bien plus sombre, conçue par une élite globaliste pour son propre profit. L’auteure la qualifie de « Grande Mensonge » qui, suivant la maxime de Goebbels, se répète inlassablement pour être acceptée comme vérité.

Une arme de guerre déguisée. Derrière les nobles desseins de l’Agenda 2030 se cache un plan de domination mondiale. Cette élite, composée de « cupides, criminels et psychopathes », cherche à s’approprier tous les biens de la Terre, y compris les êtres humains, et à instaurer une gouvernance mondiale privée. L’Agenda est donc un programme de guerre secrète, utilisant des mécanismes invisibles pour détruire la civilisation actuelle et ériger une nouvelle fondée sur la domination, le mensonge et le chaos.

Le « Grand Reset » global. L’Agenda 2030, aussi appelé « Grand Reset », est l’aboutissement de plans de contrôle mondial dont les racines remontent à plusieurs décennies, comme la doctrine Kissinger. Sa devise « ne laisser personne de côté » s’est popularisée lors de la campagne de vaccination contre la Covid-19, un « grand expérimentation d’obéissance universelle » que l’auteure intègre aux objectifs de l’Agenda. Ce plan vise à endormir les masses, contrôler les forces intellectuelles et créatives, et prendre le contrôle absolu de la population et des centres de production pour un pillage global.

2. L’Antropolitiques : Attaque contre les Fondements de la Civilisation Humaine

L’Agenda attaque le pivot des principaux bastions civilisationnels pour les renverser et les remplacer par de nouveaux schémas, modèles et rôles.

Guerre anthropologique. L’Agenda 2030 n’est pas seulement un plan politique ou économique, mais une « antropolitiques » conçue pour subvertir les fondements mêmes de la civilisation humaine. Les anthropologues au service des élites ont identifié les éléments essentiels structurant les cultures (eau, famille, langage, éducation, loi, histoire, identité) afin de les attaquer et de les remplacer par de nouveaux paradigmes. L’objectif final est de créer une nouvelle civilisation totalitaire, soutenue par la technologie et contrôlée par un gouvernement mondial.

Destruction de la famille. La première institution à être abattue est la Mère et, par extension, la Femme, suivie du Père et de la famille nucléaire. L’auteure soutient que le concept d’« hétéropatriarcat » est une construction antropolitiques destinée à criminaliser l’homme et à effacer la femme en tant qu’institution centrale. L’« égalité des genres » et le « mouvement trans » cherchent à « déposséder » la femme en l’égalant à « toute personne se sentant femme », diluant ainsi son identité et son rôle fondamental dans la procréation et la transmission des valeurs.

Réinvention de l’être humain. L’Agenda 2030 poursuit la réinvention de l’être humain à travers le transhumanisme, ce qui nécessite une étude approfondie de ses dimensions anthropologiques. En manipulant des éléments tels que l’eau (privatisation des ressources), l’agriculture (contrôle alimentaire) et l’identité (genre), on cherche à créer un individu docile et sans esprit critique. L’auteure avertit que ce plan, bien qu’ambitieux, engendre un chaos imprévu, car les êtres humains, contrairement aux machines, ont des intérêts propres et une dimension spirituelle que l’élite matérialiste oublie.

3. « Fin de la Pauvreté » : Euphémisme pour la Réduction Démographique

Les ODD 1, 2 et 3 de l’Agenda 2030 — « Fin de la pauvreté », « Faim zéro » et « Santé et bien-être » — partagent un dénominateur commun : la réduction de la population mondiale par l’eugénisme, l’avortement, le contrôle des naissances et la mort de la population via les vaccins.

Eugénisme dissimulé. Le premier ODD, « Fin de la pauvreté », cache une vérité terrifiante : pour l’élite globaliste, éliminer la pauvreté signifie réduire la population mondiale. Bill Gates, philanthrope clé, affirmait en 2010 que les nouveaux vaccins et services de santé reproductive pourraient réduire la croissance démographique de 10 à 15 %. Cela se traduit par des politiques eugénistes, des avortements massifs sous couvert de « santé reproductive », et la promotion de l’infertilité, comme dénoncé lors de campagnes de vaccination dans les pays en développement.

Les vaccins comme arme biologique. La pandémie de Covid-19 et ses vaccins sont présentés comme un « macro-expérimentation scientifique mondiale » ayant un impact direct sur la diminution de la population. L’auteure dénonce que les vaccins à ARNm, sans preuves de sécurité adéquates, ont causé :

  • Infertilité
  • Dommages cardiaques (myocardites, péricardites)
  • « Cancers turbo » et réactivation de pathologies
  • Décès « spontanés » (plus de 11 977 confirmés par la Commission européenne jusqu’en septembre 2023, avec des estimations de Harvard indiquant que seulement 1 % des effets indésirables sont rapportés).
    Les firmes pharmaceutiques, financées par des figures comme Bill Gates, ont réalisé des bénéfices records, tandis que la population était utilisée comme « cobayes ».

Contrôle démographique et « risque de longévité ». L’ONU célèbre le ralentissement de la croissance démographique, l’attribuant à la baisse de la fertilité et à la pandémie. La longévité, perçue comme un « risque » par des institutions telles que le FMI, met sous pression les systèmes de santé et de retraite. L’immigration est présentée comme le seul moteur démographique pour les pays à hauts revenus, tandis que la fertilité globale est réduite. L’auteure conclut que l’objectif est de créer une société de « pauvres malades heureux », dociles au système, où la vie humaine est un « écocide » et la procréation un crime.

4. « Éducation de Qualité » : Endoctrinement pour l’Esclavage

La manière la plus efficace de détruire un peuple est de nier et d’effacer sa propre compréhension de son histoire.

Contrôle de l’esprit enfantin. L’ODD 4, « Éducation de qualité », est l’outil clé pour ancrer les nouvelles valeurs de la « techno-anthropologie » dans l’esprit des enfants. L’UNESCO, en collaboration avec l’OMS, a publié des guides tels que « Orientation technique internationale sur l’éducation sexuelle » qui instruisent les éducateurs à enseigner dès le plus jeune âge la masturbation, les désirs sexuels et la pornographie. L’auteure qualifie cela de « corruption des mineurs » et de « normalisation de la perversion », visant à l’« hypersexualisation » et à l’affaiblissement spirituel et mental des générations futures.

Tyrannie technologique et censure académique. La technologie est omniprésente dans « l’éducation de qualité », malgré ses effets néfastes démontrés sur le développement intellectuel. L’auteure dénonce que les élites technologiques éduquent leurs enfants loin des écrans, tout en promouvant leur usage massif dans les écoles publiques. De plus, la censure s’étend aux universités, où les débats sur des sujets sensibles de l’Agenda 2030, comme le changement climatique, sont interdits sous prétexte de combattre les « pseudosciences ».

Usine à analphabètes dociles. Les résultats du rapport PISA montrent un effondrement éducatif en Europe, avec une baisse en lecture et en mathématiques, tandis que les pays asiatiques progressent. L’auteure attribue cela à un modèle pédagogique qui pénalise l’effort et le savoir, remplaçant les connaissances par des « compétences » et favorisant l’idéologisation. L’objectif est de créer des individus sans esprit critique, incapables de distinguer le vrai du faux, et dociles au système. L’auteure conclut que « l’éducation de qualité » est en réalité une « éducation pour l’esclavage », où l’ignorance est la base de la soumission.

5. « Réduction des Inégalités » : Le Grand Pillage des Richesses

99 % de la population mondiale possède moins de richesses que le 1 % le plus fortuné.

Le piège des inégalités. L’ODD 10, « Réduction des inégalités », est l’une des plus grandes impostures de l’Agenda 2030. Malgré son noble énoncé, les inégalités mondiales ont dramatiquement augmenté, notamment durant la pandémie de Covid-19, où le 1 % le plus riche a doublé sa fortune. L’auteure dénonce que la crise économique a été planifiée pour ruiner des millions de personnes et profiter aux grandes corporations contrôlées par l’élite globaliste.

« Tu ne posséderas rien, mais tu seras heureux ». Tel est le véritable slogan derrière la prétendue réduction des inégalités. L’élite cherche un monde divisé entre riches et pauvres, où la majorité ne possède rien, tandis qu’elle accumule toute la richesse et décide de sa répartition. L’auteure cite des exemples comme la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, sous couvert de philanthropie, investit dans des entreprises profitant de la dépopulation et du contrôle des ressources.

Le pouvoir des fonds vautours. Larry Fink et son fonds BlackRock incarnent cette concentration du pouvoir. BlackRock, avec des actifs dépassant l’économie allemande, contrôle la majorité des actions des géants technologiques, pharmaceutiques et médiatiques. L’auteure avertit que ces fonds acquièrent propriétés et entreprises à travers le monde, tandis que les gouvernements, comme l’Espagne, s’endettent et vendent des actifs publics. La « réduction des inégalités » est en réalité un « grand pillage » consolidant le pouvoir entre les mains de quelques-uns, tandis que la population s’appauvrit et se voit imposer la « résilience ».

6. « Action pour le Climat » : Le Grand Mensonge de la Tyrannie Climatique

Le réchauffement climatique anthropique est en réalité une tromperie politique mondiale ayant pris les dimensions et caractéristiques d’une secte.

Un credo apocalyptique. L’ODD 13, « Action pour le climat », est le « premier commandement » du Nouvel Ordre Mondial, une fausse théorie du « réchauffement global causé par l’homme ». L’ONU et le GIEC utilisent un langage alarmiste (« conséquences catastrophiques », « changements irréversibles ») pour terroriser la population et justifier l’imposition de politiques profitant à l’élite. L’auteure compare ce récit à un « Déluge universel laïc et postmoderne » visant à préparer la planète pour une poignée d’élus.

Pseudoscience et propagande. L’auteure dénonce l’absence de consensus scientifique sur le changement climatique anthropique. Elle cite un manifeste de 900 scientifiques affirmant que les changements climatiques sont naturels et que le CO2 n’est pas un polluant, mais « un aliment végétal, la base de toute vie sur Terre ». Des figures comme Al Gore et Greta Thunberg sont présentées comme des éléments d’une campagne marketing massive, financée par les élites, pour manipuler l’opinion publique et faire taire les dissidents.

Contrôle des ressources et appauvrissement. L’« agenda vert » est un prétexte à la privatisation de la nature et au contrôle des ressources. L’auteure souligne que, tandis que des taxes carbone sont imposées et que des énergies « vertes » (souvent fossiles) sont promues, on détruit des marais et interdit le nettoyage des forêts, aggravant sécheresses et incendies. L’objectif est d’appauvrir la population et les petites et moyennes entreprises, tandis que les grandes corporations et fonds d’investissement s’approprient terres, eau et nourriture, utilisant la faim comme arme de guerre.

7. « Paix, Justice et Institutions Solides » : L’Alliance pour le Gouvernement Mondial

L’élément indispensable pour que l’élite financière occidentale perpétue ses privilèges et sa propre survie — prétendant qu’il s’agit de notre survie — est la création de nouvelles institutions antropolitiques qui renforcent, protègent et surtout légitiment son plan pervers.

Ministères de l’Agenda. Pour consolider son ambition de gouvernement mondial, l’élite crée des « institutions solides » aux noms grandiloquents. L’Espagne est un « laboratoire vivant » avec dix ministères dédiés à l’Agenda 2030 (Transition Écologique, Droits Sociaux, Égalité, Transformation Digitale, etc.). Ces ministères, reproduits dans d’autres pays, quoique avec moins d’audace, cherchent à imposer une nouvelle manière d’organiser le monde, où la versatilité et l’ambiguïté de l’Agenda permettent à la fois à la gauche et à la droite de l’adopter.

L’alliance Vatican-Capitalisme Inclusif. L’une des institutions les plus inquiétantes est le « Conseil des Gardiens du Capitalisme Inclusif », fondé par Lynn Forester de Rothschild et soutenu par le Vatican et le pape François. Ce conseil, composé de dirigeants de fondations, banques, firmes pharmaceutiques et multinationales, vise à « réformer le système capitaliste de l’intérieur » pour le « bien de l’humanité ». L’auteure y voit une légitimation morale et spirituelle du pillage mondial, où les « plus grands menteurs, exploiteurs, meurtriers et voleurs de la planète » se réunissent sous la bénédiction papale.

Totalitarisme d’urgence. La création de ces institutions se justifie par un « totalitarisme d’urgence », c’est-à-dire la menace perpétuelle de dangers (pandémies, changement climatique, terrorisme) nécessitant la subordination de l’État de droit. L’auteure cite Carl Schmitt et Klaus Schwab, qui a vu la pandémie comme une « rare mais étroite fenêtre d’opportunité pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ». Ce mécanisme vise le contrôle et la soumission de la population, utilisant la « tyrannie de la prévention » pour justifier une surveillance extrême et la restriction des libertés.

8. La Censure et la Surveillance : Piliers de la Tyrannie du XXIe Siècle

Nous vivons dans un monde sale et dangereux. Il y a certaines choses que le grand public n’a pas besoin de savoir et ne devrait pas savoir. Je crois que la démocratie prospère lorsque le gouvernement peut prendre des mesures légitimes pour garder ses secrets et lorsque la presse peut décider si elle souhaite imprimer ce qu’elle sait.

Le contrôle de l’information. L’élite globaliste, via la CIA et ses alliés médiatiques, a perfectionné la désinformation et la censure. L’« opération Mockingbird » de la CIA, qui a infiltré les médias, est toujours active aujourd’hui. L’auteure dénonce que la majorité des informations sont fabriquées par des agences de renseignement et des entreprises privées, transformant la presse en un « canal de propagande efficace et influent » pour vendre l’Agenda 2030. Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a admis avoir censuré des informations à la demande du gouvernement, révélant la complicité entre pouvoir et réseaux sociaux.

Surveillance technologique et polarisation. La surveillance obsède les nouveaux tyrans. L’installation de systèmes de reconnaissance faciale dans les aéroports et la promotion de « l’identification numérique globale » visent à contrôler chaque aspect de la vie des individus, de l’accès financier à la vérification vaccinale. Cela se justifie par la lutte contre le terrorisme et l’immigration illégale, mais le véritable but est de punir ceux qui ne se soumettent pas. La polarisation sociale, autre « risque » souligné à Davos, est une stratégie de tension créée par les tyrans eux-mêmes pour imposer une « tyrannie temporaire » et restaurer l’ordre à leur avantage.

La « maladie X » et la peur comme arme. Les tyrans utilisent la peur comme arme psychologique pour contrôler la population. L’OMS évoque déjà la « maladie X », un pathogène hypothétique qui causerait plus de morts que le coronavirus, tandis que des vaccins sont préparés dans des laboratoires secrets. L’auteure souligne que les pandémies ne se prédisent pas, elles se planifient. L’élite qualifie les « théoriciens du complot » (ceux qui remettent en question la narration officielle) de « plus dangereux que les terroristes », alors qu’elle-même soutient des guerres, conçoit des pandémies et escroque avec le « récit climatique », allant jusqu’à suggérer que la respiration humaine est un risque pour la planète.

9. La Rébellion des Libres : L’Antidote à la Tyrannie

Le problème est désormais clair. C’est entre la lumière et les ténèbres, et chacun doit choisir de quel côté il se trouve.

L’échec de la tyrannie heureuse. L’Agenda 2030, avec sa promesse « tu ne posséderas rien, mais tu seras heureux », est un plan « absurde et irréalisable ». Les rébellions en Europe, en Afrique et en Amérique

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Avis

4.11 sur 5
Moyenne de 47 évaluations de Goodreads et Amazon.

Libertad o tiranía suscite des avis partagés, avec une note moyenne de 4,11 sur 5. Certains lecteurs le qualifient de révélateur et libérateur, mettant en lumière des vérités cachées sur la gouvernance mondiale. Ils le recommandent pour mieux comprendre les dynamiques du pouvoir à l’échelle planétaire. D’autres, en revanche, lui reprochent un parti pris marqué, un manque d’objectivité et une dépendance excessive à des sources difficilement vérifiables. L’ouvrage aborde l’Agenda 2030, qu’il présente comme une propagande destinée à contrôler les populations. Si certains le jugent dense et parfois accablant, d’autres le considèrent comme une lecture incontournable pour remettre en question le statu quo et saisir les mécanismes de manipulation sociale.

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4.49
7 évaluations

À propos de l'auteur

Cristina Martín Jiménez est une auteure et journaliste espagnole reconnue pour ses enquêtes approfondies sur les structures de pouvoir mondiales et les théories du complot. Son écriture se distingue par une volonté de dévoiler ce qu’elle considère comme les agendas cachés des élites mondiales et des organisations internationales. Martín Jiménez adopte une approche critique face aux récits dominants, notamment en ce qui concerne la gouvernance mondiale et le contrôle sociétal. Ses ouvrages, parmi lesquels figure Libertad o tiranía, remettent en question les versions officielles des événements et des politiques mondiales, offrant des perspectives alternatives sur des sujets tels que l’Agenda 2030. Si certains lecteurs saluent son travail pour la révélation de vérités dissimulées, d’autres lui reprochent un manque d’objectivité et un recours à des sources non vérifiées.

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