Searching...
Français
EnglishEnglish
EspañolSpanish
简体中文Chinese
FrançaisFrench
DeutschGerman
日本語Japanese
PortuguêsPortuguese
ItalianoItalian
한국어Korean
РусскийRussian
NederlandsDutch
العربيةArabic
PolskiPolish
हिन्दीHindi
Tiếng ViệtVietnamese
SvenskaSwedish
ΕλληνικάGreek
TürkçeTurkish
ไทยThai
ČeštinaCzech
RomânăRomanian
MagyarHungarian
УкраїнськаUkrainian
Bahasa IndonesiaIndonesian
DanskDanish
SuomiFinnish
БългарскиBulgarian
עבריתHebrew
NorskNorwegian
HrvatskiCroatian
CatalàCatalan
SlovenčinaSlovak
LietuviųLithuanian
SlovenščinaSlovenian
СрпскиSerbian
EestiEstonian
LatviešuLatvian
فارسیPersian
മലയാളംMalayalam
தமிழ்Tamil
اردوUrdu
All the Beauty in the World

All the Beauty in the World

The Metropolitan Museum of Art and Me
par Patrick Bringley 2023 240 pages
4.04
19.4K évaluations
Écouter
Try Full Access for 7 Days
Unlock listening & more!
Continue

Points clés

1. Chercher le calme et la guérison au musée

Mon cœur est plein, mon cœur se brise, et je désire ardemment rester immobile un instant.

L’impact profond du deuil. La vie de l’auteur a été bouleversée à jamais par la maladie et la mort de son frère aîné, Tom, un brillant étudiant en biomathématiques. Cette période, passée en grande partie dans des chambres d’hôpital et l’appartement de Tom, est devenue un « monde réel » qui lui a enseigné la beauté, la grâce et la perte, rendant son ancien emploi en entreprise vide de sens.

Un désir de calme. Après la disparition de Tom, l’auteur a cherché un lieu où il pourrait faire une pause et apprivoiser son chagrin. Le Metropolitan Museum of Art, un lieu de beauté qu’il connaissait depuis son enfance, offrait la possibilité d’un travail demandant présence et observation plutôt qu’ambition ou course en avant.

Un nouveau chemin se dessine. Inspiré par une visite au Philadelphia Museum of Art avec sa mère, où ils ont trouvé refuge dans l’art au milieu de leur douleur partagée, l’auteur a compris que le poste de gardien de musée pouvait être une « échappatoire » pour sortir du « monde en marche » et habiter un univers beau, offrant un rôle simple et clair en pleine tourmente personnelle.

2. Le Metropolitan Museum comme sanctuaire

C’est un sentiment extraordinaire.

Un monde dans le monde. Le Met est décrit comme un vaste manoir labyrinthique, un « monde en miniature » où se mêlent siècles et cultures. Pour l’auteur, il est devenu un lieu d’immersion, comparable à un voyageur dans une ville étrangère, où chaque détail, des artefacts anciens aux pigeons ordinaires à l’extérieur, semblait intensément vivant.

Matins silencieux avec les maîtres. Les premières heures avant l’ouverture du musée sont particulièrement sacrées, offrant un temps solitaire avec l’art. L’auteur se sent absorbé, voyant les tableaux comme des « fenêtres de premier étage » sur d’autres époques et vies, trouvant grandeur et sacralité dans ces instants intimes, rappelant le calme de la chambre d’hôpital de Tom.

Un lieu à part. À l’image des cloîtres médiévaux, le musée offre un espace « mis à part » du tumulte du monde extérieur. Il procure paix et détachement, permettant une observation et une réflexion silencieuses, en contraste frappant avec l’ancien emploi stressant de l’auteur, déconnecté de toute réalité profonde.

3. Rencontrer l’art : au-delà de l’analyse, le ressenti

Une œuvre d’art tend à parler de choses à la fois trop vastes et trop intimes pour être résumées, et elle le fait en ne parlant pas du tout.

L’art résiste aux réponses faciles. L’auteur apprend que le grand art ne se laisse pas réduire à une analyse simple ou à un jargon académique. Son désir initial de « bien analyser l’art » pour maîtriser sa réaction émotionnelle cède la place à la compréhension que la puissance de l’art réside dans sa beauté silencieuse, directe et concrète, qui échappe aux mots et à la pensée.

Le temps et l’ouverture sont essentiels. La meilleure manière d’entrer en relation avec une œuvre est d’abord de ne rien faire d’autre qu’observer, laissant le temps à l’œuvre « d’accomplir son travail sur nous ». Cela implique de mettre de côté attentes et jugements, d’absorber simplement ce qui est là, reconnaissant que l’art parle de choses « trop vastes et trop intimes pour être résumées ».

L’art nous rappelle l’évidence. Nombreuses œuvres majeures nous rappellent des vérités fondamentales que nous oublions souvent dans le quotidien. Qu’il s’agisse de la souffrance dans une Crucifixion de Daddi ou de la vie vibrante dans un portrait de Titien, l’art dit : « Ceci est réel », nous invitant à nous arrêter et à imaginer plus pleinement ce que nous savons déjà mais perdons de vue.

4. La riche tapisserie des collègues et visiteurs

Tant d’histoires sous la veste bleue.

Une communauté diverse. Le corps des gardiens du musée est un groupe remarquablement varié, issu de milieux et de pays différents, avec des compétences et expériences bien au-delà de la simple sécurité. Contrairement aux emplois de bureau qui rassemblent des profils similaires, ce travail « non qualifié » réunit des individus aux parcours fascinants, créant une communauté unique et solidaire.

Observer le défilé humain. Ce poste offre une occasion inégalée d’observer les gens, constatant que « le Metropolitan Museum attire un public digne de ce nom ». Les visiteurs viennent pour des raisons diverses, manifestant une palette d’attitudes et d’émotions, de l’émerveillement à la perplexité, de l’agacement à la simple curiosité, offrant un spectacle constant et vivant pour le gardien attentif.

Connexions inattendues. L’uniforme crée une dynamique particulière, rendant les gardiens accessibles et suscitant des échanges francs. Les visiteurs partagent leurs pensées, posent des questions, dévoilent des bribes de leur vie, tandis que les collègues, malgré leurs différences, trouvent un terrain commun dans leurs expériences partagées, créant des moments d’intimité et de lien dans l’espace public.

5. Trouver un sens dans un travail simple et présent

Je me surprends à être heureux de ne mener nulle part.

Un contraste avec l’ambition. Le poste de gardien offre un contraste saisissant avec la carrière précédente de l’auteur, qui ressemblait à un « jeu vidéo » centré sur la progression et la validation extérieure. Ici, il n’y a « ni balle à pousser en avant, ni projet à faire avancer, ni futur à construire », ce qui engendre un contentement dans la simple présence.

La valeur du calme. Le « mouvement tortuesque du temps du veilleur » devient une source de paix. Les heures sont « passées avec un détachement princier », enseignant la patience et une autre relation au temps que le rythme effréné du monde extérieur. Ce calme permet une réflexion intérieure et une observation profonde.

Un devoir honnête et simple. La simplicité du travail — protéger les personnes et les biens, rester vigilant — est sa force. C’est un « travail paisible et honnête » qui permet à l’auteur de se sentir utile et ancré, libéré des pressions et de la fausseté perçue de sa vie antérieure, trouvant satisfaction dans les exigences claires du rôle.

6. La beauté inachevée et imparfaite de la vie et de l’art

quelque chose de plus beau qu’il n’a le droit de l’être.

L’art reflète le désordre de la vie. Des expositions comme « Unfinished » et les quilts de Gee’s Bend montrent que le grand art naît souvent de la lutte, de l’imperfection et des contraintes. Les « giornate » de Michel-Ange sur le plafond de la chapelle Sixtine ou les quilteuses de Gee’s Bend utilisant des tissus récupérés révèlent que la beauté résulte souvent d’un effort patient et fragmentaire dans des circonstances difficiles.

Le sens est local et personnel. L’auteur comprend que « le sens se crée toujours localement », que ce soit dans la Florence de Michel-Ange ou à Gee’s Bend avec Loretta Pettway. Le grand art est souvent produit par des personnes « enfermées par les circonstances », réalisant des « efforts de patchwork » pour créer quelque chose de beau et d’utile, témoignant de résilience et de créativité.

Le processus continu de la vie. Devenir parent souligne que la vie elle-même est un projet « inachevé », un « grand désordre de travail à accomplir ». Contrairement aux œuvres finies du musée, la vie implique lutte constante, croissance et adaptation, un « processus terriblement inélégant et improvisé » de construction d’humains et d’un monde pour eux, qui ne peut être parfait mais peut devenir plus beau et robuste.

7. Porter les leçons du musée dans le monde

L’art parle à la fois de la simplicité et du mystère, nous rappelant l’évidence, explorant ce qui est négligé.

Intégrer deux mondes. La vie de l’auteur oscille entre le calme du musée et le « labeur tourbillonnant » de la vie familiale. Il cherche à réconcilier ces univers, comprenant que la vie exige à la fois des moments d’observation silencieuse et le « travail acharné de vivre, lutter, grandir et créer ».

Des leçons pour s’engager. Ses années de gardien lui enseignent comment s’ouvrir au monde :

  • Observer avec des yeux larges et patients.
  • Laisser le temps aux expériences de se déployer.
  • Chercher à comprendre au-delà des apparences.
  • S’engager avec les autres, écouter leurs histoires.
  • Trouver beauté et sens dans l’ordinaire.

Avancer avec intention. Conscient que la vie est longue et demande de la direction, l’auteur décide de quitter son poste de gardien, non par rejet, mais parce qu’il est prêt pour un nouveau chapitre impliquant un engagement plus actif avec le monde, portant avec lui les leçons d’observation, de lien et de quête de beauté et de sens vers de nouvelles aventures.

Dernière mise à jour:

Want to read the full book?

FAQ

1. What is "All the Beauty in the World" by Patrick Bringley about?

  • Memoir of a Museum Guard: The book is a memoir chronicling Patrick Bringley’s ten years as a guard at the Metropolitan Museum of Art in New York City.
  • Personal Journey Through Grief: It explores Bringley’s personal journey through grief after the loss of his brother, and how working at the Met provided solace and meaning.
  • Life Inside the Met: The narrative offers an insider’s perspective on the daily life, routines, and community of museum guards, as well as the behind-the-scenes workings of the museum.
  • Reflections on Art and Humanity: Bringley uses his experiences to reflect on the power of art, the diversity of museum visitors, and the universal search for beauty and connection.

2. Why should I read "All the Beauty in the World" by Patrick Bringley?

  • Unique Perspective on Art: The book provides a rare, ground-level view of one of the world’s greatest museums, seen through the eyes of someone who spent years quietly observing both art and people.
  • Moving Exploration of Grief: Bringley’s honest account of coping with loss and finding healing through art and stillness resonates with anyone who has experienced grief or sought meaning in difficult times.
  • Celebration of Everyday Work: It elevates the often-overlooked role of museum guards, showing the dignity, camaraderie, and quiet heroism in their work.
  • Accessible and Thoughtful Writing: The memoir is praised for its warmth, humor, and philosophical insights, making it appealing to art lovers and general readers alike.

3. What are the key takeaways from "All the Beauty in the World" by Patrick Bringley?

  • Art as a Source of Solace: Art can provide comfort, perspective, and a sense of connection during life’s most challenging moments.
  • Value in Stillness and Observation: Slowing down and truly observing—whether art or people—can lead to deeper understanding and appreciation of the world.
  • Diversity of Human Experience: The Met is a microcosm of humanity, and the book highlights the variety of visitors, staff, and stories that pass through its halls.
  • Meaning in Ordinary Work: Even seemingly simple or repetitive jobs can be meaningful, especially when approached with openness and curiosity.

4. How does Patrick Bringley’s personal story shape "All the Beauty in the World"?

  • Driven by Loss: Bringley’s decision to become a museum guard is rooted in the grief of losing his brother, which shapes his search for stillness and meaning.
  • Transformation Through Art: His time at the Met becomes a period of healing, reflection, and personal growth, as he learns to live with loss and embrace new chapters.
  • Family and Relationships: The memoir weaves in stories of Bringley’s family, marriage, and eventual fatherhood, showing how his experiences at the museum inform his life outside its walls.
  • Evolving Perspective: Over ten years, Bringley’s relationship to art, work, and community deepens, moving from solitude to connection and from grief to acceptance.

5. What is unique about the perspective on art and museums in "All the Beauty in the World"?

  • Guard’s-Eye View: Unlike curators or critics, Bringley offers the perspective of someone who spends long, quiet hours with the art, observing both masterpieces and the people who come to see them.
  • Focus on the Everyday: The book highlights the beauty in routine, repetition, and the unnoticed details of museum life.
  • Art as Living Presence: Bringley describes artworks as “inhabitants” of the museum, each with their own stories and power to affect viewers.
  • Demystifying the Museum: He reveals the human side of the institution, from the camaraderie among guards to the quirks of visitors and the practicalities of museum operations.

6. How does "All the Beauty in the World" by Patrick Bringley explore the role of museum guards?

  • Essential Yet Overlooked: The book emphasizes the importance of guards in protecting art and ensuring the safety and enjoyment of visitors, while often being invisible to the public.
  • Community and Diversity: Bringley introduces a cast of colleagues from varied backgrounds, highlighting the diversity and camaraderie among guards.
  • Guarding as a Vocation: He finds meaning and pride in the work, challenging stereotypes about “unskilled” jobs and showing the value in attentive presence.
  • Stories and Wisdom: The memoir is rich with anecdotes, humor, and life lessons learned from fellow guards and their unique perspectives.

7. What are some of the most memorable artworks and galleries discussed in "All the Beauty in the World"?

  • Old Masters Wing: Bringley spends much of his early career among Renaissance and Baroque paintings, including works by Raphael, Duccio, and Bruegel.
  • Egyptian Wing: He describes the awe-inspiring Temple of Dendur and the ancient tombs, reflecting on time and mortality.
  • Islamic and African Art: The book explores the beauty and complexity of non-Western art, such as the Songye nkisi and the Moroccan Court.
  • Modern and Contemporary Art: Bringley covers blockbuster exhibitions like Picasso and Michelangelo, as well as the moving Gee’s Bend quilt show.

8. How does Patrick Bringley describe the experience of visitors in "All the Beauty in the World"?

  • Diverse Motivations: Visitors range from art lovers and tourists to schoolchildren and regulars, each bringing their own expectations and reactions.
  • Moments of Wonder and Confusion: Bringley observes moments of awe, misunderstanding, and even frustration, often serving as a guide or sympathetic ear.
  • People-Watching as Art: The memoir treats the flow of visitors as a living artwork, full of stories, emotions, and fleeting connections.
  • Universal Search for Meaning: Through their questions and behaviors, visitors reveal a shared human desire to find beauty, understanding, and connection.

9. What methods or advice does Patrick Bringley offer for experiencing art and museums?

  • Slow Down and Observe: Bringley advocates for spending time with artworks, allowing their details and presence to unfold gradually.
  • Embrace Silence and Stillness: He suggests that quiet contemplation can lead to deeper appreciation and unexpected insights.
  • Ask Questions, Seek Stories: Learning about the maker, context, and history of an artwork can enrich the experience, but personal reflection is equally important.
  • Carry Art With You: Bringley encourages readers to find artworks that resonate personally and to let them inform and inspire life outside the museum.

10. What are some of the key concepts or themes explored in "All the Beauty in the World"?

  • Art and Mortality: The book frequently returns to themes of death, loss, and the ways art helps us confront and make sense of mortality.
  • Stillness vs. Motion: Bringley contrasts the stillness of art and the museum with the busyness of modern life, finding value in both.
  • Community and Solitude: The memoir explores the balance between solitude (as a guard, as a mourner) and the connections formed with colleagues and visitors.
  • Growth and Change: Over time, Bringley’s relationship to art, work, and life evolves, reflecting the ongoing process of healing and self-discovery.

11. What are some of the best quotes from "All the Beauty in the World" and what do they mean?

  • “Much of the greatest art, I find, seeks to remind us of the obvious. This is real, is all it says.” — Bringley emphasizes that art’s power often lies in making us see and feel what we already know, but too easily forget.
  • “You are now entering a world in miniature, its terrain stretching from the mudflats of Mesopotamia to the cafés of Left Bank Paris and a thousand other places where humankind has really outdone itself.” — This captures the awe and scope of the Met, and the invitation to lose oneself in its riches.
  • “Art often derives from those moments when we would wish the world to stand still.” — Bringley reflects on how art captures fleeting beauty and emotion, offering a kind of permanence.
  • “Even seemingly simple or repetitive jobs can be meaningful, especially when approached with openness and curiosity.” — A recurring theme, this quote speaks to the dignity and value found in everyday work.

12. How does "All the Beauty in the World" by Patrick Bringley conclude, and what lasting message does it leave?

  • Embracing Change: Bringley eventually leaves his job as a guard, recognizing that life consists of chapters and that growth requires moving forward.
  • Carrying Art Forward: He encourages readers to “carry something with you” from the museum—art, memories, lessons—that can enrich and change your life.
  • Life as Unfinished Work: The memoir ends with the idea that both art and life are ongoing, imperfect, and always in process, echoing the “Unfinished” exhibition he describes.
  • Gratitude and Hope: Bringley expresses deep gratitude for his time at the Met, the people he met, and the art he loved, leaving readers with a sense of hope, resilience, and the enduring power of beauty.

Avis

4.04 sur 5
Moyenne de 19.4K évaluations de Goodreads et Amazon.

Toute la beauté du monde a reçu des critiques majoritairement positives, saluée pour son regard intime porté sur le Metropolitan Museum of Art à travers le prisme d’un gardien. Les lecteurs ont apprécié les réflexions de Bringley sur l’art, le deuil et la guérison. Nombre d’entre eux ont trouvé ce livre apaisant et riche en enseignements, même si certains l’ont jugé un peu trop centré sur l’auteur ou parfois monotone. Le style d’écriture ainsi que les observations de Bringley sur les œuvres d’art et les visiteurs du musée ont généralement été bien accueillis. Bien que dépourvu d’action trépidante, ce récit a su toucher les amateurs d’art et ceux en quête d’une lecture méditative.

Your rating:
4.46
62 évaluations

À propos de l'auteur

Patrick Bringley est l’auteur à succès du New York Times de All the Beauty in the World, un récit autobiographique qui relate sa décennie en tant que gardien au Metropolitan Museum of Art. Ce livre a reçu un accueil critique remarquable, étant reconnu comme l’un des meilleurs ouvrages de l’année par plusieurs institutions. Bringley a adapté son mémoire en un spectacle solo, qui sera présenté Off-Broadway en 2025. Il donne actuellement des conférences dans des musées à travers le pays et guide des visites au Met. Installé à Brooklyn avec sa famille, Bringley continue de partager sa vision singulière de l’art et de la vie à travers ses écrits et ses interventions publiques. All the Beauty in the World constitue son premier ouvrage en tant qu’auteur.

Listen
Now playing
All the Beauty in the World
0:00
-0:00
Now playing
All the Beauty in the World
0:00
-0:00
1x
Voice
Speed
Dan
Andrew
Michelle
Lauren
1.0×
+
200 words per minute
Queue
Home
Swipe
Library
Get App
Create a free account to unlock:
Recommendations: Personalized for you
Requests: Request new book summaries
Bookmarks: Save your favorite books
History: Revisit books later
Ratings: Rate books & see your ratings
200,000+ readers
Try Full Access for 7 Days
Listen, bookmark, and more
Compare Features Free Pro
📖 Read Summaries
All summaries are free to read in 40 languages
🎧 Listen to Summaries
Listen to unlimited summaries in 40 languages
❤️ Unlimited Bookmarks
Free users are limited to 4
📜 Unlimited History
Free users are limited to 4
📥 Unlimited Downloads
Free users are limited to 1
Risk-Free Timeline
Today: Get Instant Access
Listen to full summaries of 73,530 books. That's 12,000+ hours of audio!
Day 4: Trial Reminder
We'll send you a notification that your trial is ending soon.
Day 7: Your subscription begins
You'll be charged on Aug 2,
cancel anytime before.
Consume 2.8x More Books
2.8x more books Listening Reading
Our users love us
200,000+ readers
"...I can 10x the number of books I can read..."
"...exceptionally accurate, engaging, and beautifully presented..."
"...better than any amazon review when I'm making a book-buying decision..."
Save 62%
Yearly
$119.88 $44.99/year
$3.75/mo
Monthly
$9.99/mo
Start a 7-Day Free Trial
7 days free, then $44.99/year. Cancel anytime.
Scanner
Find a barcode to scan

Settings
General
Widget
Loading...