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Canine Enrichment for the Real World

Canine Enrichment for the Real World

Making It a Part of Your Dog's Daily Life
par Allie Bender 2019 238 pages
4.58
445 évaluations
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Points clés

1. L’enrichissement, c’est répondre à tous les besoins du chien, pas seulement lui offrir des jouets ou des activités.

L’enrichissement consiste à comprendre les besoins de nos chiens, puis à organiser un environnement qui leur permet, autant que possible, de satisfaire ces besoins.

Une approche globale. L’enrichissement dépasse largement la simple mise à disposition de jouets ou d’activités ; il s’agit de comprendre et de répondre à l’ensemble des besoins physiques, comportementaux et instinctifs du chien. Proposer uniquement des objets dits « enrichissants » comme des jouets ou des casse-têtes ne suffit pas si des besoins fondamentaux tels que la sécurité ou le sentiment de sûreté ne sont pas comblés, comme le montre l’exemple du chien perturbé par un dispositif anti-nuisibles à ultrasons.

Au-delà de l’évidence. Le véritable enrichissement exige une vision holistique, garantissant que les chiens puissent exprimer pleinement leur nature canine dans notre monde humain. Cela implique de dépasser les idées romantiques ou les mythes pour se concentrer sur leurs besoins réels en tant qu’espèce domestiquée dépendante de nous. L’objectif est d’organiser leur environnement et leur quotidien afin qu’ils puissent adopter des comportements typiques de leur espèce de manière saine.

Répondre aux besoins, c’est l’essentiel. La manière la plus simple de concevoir l’enrichissement est de satisfaire au maximum les besoins de votre chien. Ce principe fondamental guide toutes les facettes d’un enrichissement efficace, garantissant que nos efforts améliorent réellement le bien-être de l’animal, plutôt que de simplement nous donner bonne conscience.

2. La science compte : basez vos pratiques sur des preuves, pas sur des anecdotes ou des mythes.

Utiliser l’intuition et l’empathie n’est pas incompatible avec l’usage des preuves ; l’un ne s’exclut pas l’autre, au contraire, ils fonctionnent mieux ensemble.

Les preuves plutôt que l’anecdote. Si l’intuition et l’empathie sont précieuses, le soin et l’éducation des animaux doivent s’appuyer sur la science et des données empiriques, et non sur des expériences personnelles ou des idées reçues. Les preuves anecdotiques, comme croire qu’un chien a l’air « coupable » ou que la punition « fonctionne » parce qu’un comportement cesse temporairement, sont sujettes à des erreurs humaines et à des raisonnements fallacieux.

Comprendre la science. La recherche scientifique, qu’elle soit en laboratoire ou sur le terrain, fournit des données mesurables et élimine les variables pour comprendre pourquoi et comment les méthodes fonctionnent, ainsi que leurs effets secondaires potentiels. La revue par les pairs et la reproduction des études assurent transparence et rigueur, rendant les approches scientifiques plus fiables que celles fondées uniquement sur l’autorité ou la tradition.

Appliquer la recherche. Même si les études ne portent pas directement sur les chiens ou semblent complexes, les principes fondamentaux de l’analyse comportementale et de la physiologie s’appliquent souvent à plusieurs espèces. Bien que la science de l’enrichissement canin soit encore en développement, s’appuyer sur les meilleures données disponibles, reconnaître les limites anecdotiques et évaluer l’information de manière critique permet de prendre des décisions éclairées pour le bien-être de nos chiens.

3. L’autonomie : le pouvoir de choisir est un besoin fondamental.

Ce principe, qui consiste à pouvoir prendre des décisions pour obtenir des résultats souhaités, est un besoin fondamental de tous les êtres sensibles, tout comme la nourriture, l’eau et un abri...

Le contrôle évite l’impuissance. L’autonomie, c’est la capacité de contrôler son environnement et de faire des choix menant à des résultats désirables, un élément crucial pour la santé mentale et le bien-être de tous les êtres sensibles. L’absence d’autonomie, surtout face à des stimuli aversifs inévitables, conduit à l’impuissance apprise, un état de résignation qui pousse à un arrêt comportemental et parfois même physique.

Un besoin aussi vital que les besoins de base. À l’instar de la nourriture et de l’eau, le besoin d’autonomie est fondamental. Des études, notamment les travaux pionniers de Seligman avec des chiens, puis des recherches sur des rats et des nourrissons humains, montrent que le contrôle sur des stimuli stressants augmente la résilience et favorise des états émotionnels plus sains. L’entraînement par immunisation, utilisant un taux élevé de renforcement pour les comportements souhaités, développe cette résilience.

Offrir le choix. On peut offrir de l’autonomie de manière simple : laisser le chien choisir son chemin lors des promenades, lui fournir des espaces sûrs où se retirer, lui permettre de choisir son jouet ou son jeu, lui apprendre à demander ce qu’il veut (comme s’asseoir pour attirer l’attention), et intégrer le choix dans les séances d’entraînement (comme avec le jeu du seau). Évitez la saturation (exposition forcée) et assurez-vous que les choix portent sur des options désirables, non sur des alternatives aversives.

4. L’exercice physique : essentiel pour le corps et l’esprit, mais tous les exercices ne se valent pas.

Il ne fait aucun doute que l’exercice est bénéfique pour le corps et l’esprit.

Lien corps-esprit. L’exercice physique est vital pour la santé physique et mentale des chiens, tout comme chez les humains. Une activité aérobie régulière peut réduire l’anxiété, améliorer l’humeur, renforcer les fonctions cognitives et accroître la résilience au stress en influençant les niveaux de neurotransmetteurs comme la sérotonine et la noradrénaline.

Au-delà de la simple promenade. La promenade est une forme d’exercice courante, mais elle peut être insuffisante, surtout pour les chiens actifs, et souvent dépourvue de stimulation mentale si elle se résume à une « marche automatique ». Intégrer des défis mentaux dans l’activité physique, comme permettre au chien de renifler, randonner sur des terrains variés ou pratiquer des sports canins, offre des bénéfices plus complets.

Exercice intelligent. Tous les exercices ne sont pas également bénéfiques ; par exemple, courir de force sur un tapis roulant peut être stressant. Un excès d’exercice, notamment chez les chiots dont les plaques de croissance ne sont pas encore fusionnées, peut entraîner des blessures. Adaptez l’exercice aux besoins, à l’âge, à la santé et aux préférences de chaque chien, et envisagez des activités comme la natation, le fitness canin ou des sports tels que l’agilité, le parkour ou le pistage pour varier les bienfaits.

5. Sécurité et sentiment de sûreté : se sentir en sécurité est aussi crucial qu’être en sécurité.

Ce n’est pas parce que vous savez que votre animal est en sécurité qu’il se sent forcément en sûreté.

Sécurité vs sentiment de sûreté. La sécurité est une condition objective de protection contre le danger, tandis que la sûreté est le ressenti subjectif d’être protégé. Il est de notre responsabilité d’assurer les deux à nos chiens, en comprenant qu’un chien peut être physiquement en sécurité mais se sentir en insécurité à cause d’expériences passées, de problèmes de santé sous-jacents ou de menaces perçues.

Créer un environnement sécurisant. Tout comme on sécurise une maison pour un bébé humain, il faut identifier et éliminer les dangers pour nos animaux (aliments ou plantes toxiques, objets dangereux). Offrir un sentiment de sûreté passe par des routines prévisibles, des règles claires dans la maison, et un espace sûr désigné (caisse, panier, pièce) où le chien se sent à l’aise et peut se retirer.

Gérer l’insécurité. L’insécurité peut se manifester par de l’anxiété ou de la réactivité. Comprendre le « système de motivation à la sécurité » montre que les menaces potentielles déclenchent la méfiance. On peut aider en encourageant des comportements d’investigation (« Allons voir ! ») et en laissant le chien explorer à son rythme, sachant qu’il peut se retirer. Évitez de forcer les interactions ou d’utiliser des outils ou méthodes qui compromettent son sentiment de sécurité ou de contrôle.

6. Comportements instinctifs : offrez des exutoires adaptés, ne les supprimez pas.

Plutôt que de chercher à punir ou supprimer un comportement instinctif toute la vie de l’animal... on peut lui offrir un exutoire acceptable pour ces comportements et lui apprendre quand il est approprié ou non de les exprimer.

L’instinct n’est pas « mauvais ». Beaucoup de comportements que les humains trouvent gênants (creuser, aboyer, mâcher) sont des schémas d’action modaux instinctifs qui ont une fonction pour la survie. Ces comportements ne sont pas intrinsèquement « mauvais » ; ils répondent à un besoin du chien, qui ne disparaîtra pas simplement parce qu’on les désapprouve.

Travailler avec la nature. Plutôt que de lutter constamment contre ces comportements par la punition ou la suppression, ce qui crée conflit et stress, il faut offrir des exutoires adaptés. Cela permet au chien de satisfaire ses besoins de manière acceptable et de lui apprendre quand et où ces comportements sont appropriés.

Offrir des exutoires. Par exemple :

  • Creuser : aménager un bac à fouille dédié.
  • Aboyer : enseigner les ordres « parle » et « silence », autoriser l’aboiement d’alerte puis demander le silence, ou transformer cela en jeu.
  • Mâcher/déchirer : fournir des jouets à mâcher adaptés (os, bois de cerf, Nylabones) ou des objets destructibles (carton, papier) avec des textures similaires aux cibles indésirables.
    Comprendre que les chiens sont crépusculaires (plus actifs à l’aube et au crépuscule) aide à gérer leurs pics d’énergie.

7. Recherche de nourriture : les chiens ont un besoin inné de travailler pour se nourrir.

C’est une loi universelle de la nature que tous les êtres vivants ont un besoin inné de travailler pour leur nourriture.

Le principe du contrafreeloading. Ce principe montre que les animaux, y compris les chiens, préfèrent travailler pour obtenir leur nourriture même lorsqu’elle est disponible gratuitement. Ce désir inné de chercher et d’obtenir de la nourriture est satisfaisant et procure un engagement mental et physique précieux.

Au-delà de la gamelle. Nourrir un chien dans une gamelle est la manière la moins enrichissante de lui donner à manger. Intégrer des opportunités de recherche alimentaire, comme disperser les croquettes dans le jardin ou utiliser des puzzles alimentaires, transforme le repas en une activité gratifiante qui exploite leurs instincts naturels de fouille et procure une satisfaction constructive (le plaisir de surmonter un défi).

Résoudre les difficultés. Si un chien ne s’intéresse pas à la recherche alimentaire, ce n’est pas parce qu’il n’est pas motivé par la nourriture (tous les êtres vivants ont besoin de manger). Les raisons possibles sont :

  • La tâche est trop difficile ou trop facile (trouvez la « zone juste »).
  • Il n’a pas été initié à la recherche alimentaire.
  • Il manque de confiance ou de motivation à cause du stress ou de l’impuissance apprise.
  • La nourriture n’est pas assez valorisée pour le défi.
  • Un problème médical sous-jacent affecte l’appétit.
    Commencez par des puzzles simples faits maison et augmentez progressivement la difficulté et la variété.

8. Besoins sociaux : privilégiez la qualité à la quantité, comprenez la vraie structure sociale canine.

C’est exact : il n’existe pas de « chien alpha ».

Démystifier la dominance. La théorie dépassée de la dominance, fondée sur des études erronées de loups en captivité, dépeint à tort les chiens comme ayant des hiérarchies rigides où les individus se battent pour le statut « alpha ». Les recherches modernes montrent que les meutes de loups sont des familles, et que les structures sociales canines sont fluides et contextuelles, avec de la déférence accordée, non imposée, et que l’agressivité traduit l’insécurité, non la dominance.

Les chiens ne sont pas des loups. Les chiens sont une espèce domestiquée distincte dont les besoins et structures sociales diffèrent de ceux des loups. Ce sont des animaux sociaux, mais leur sociabilité envers les humains et les autres chiens varie selon la génétique, l’histoire d’apprentissage et l’environnement. Tous les chiens n’ont pas besoin ni envie de jouer avec tous les autres chiens.

Répondre aux besoins sociaux. Privilégiez des interactions de qualité plutôt que la quantité forcée. Pour les interactions humaines, passez du temps avec votre chien et respectez son consentement pour les caresses et manipulations. Pour les interactions entre chiens, comprenez le niveau de sociabilité de votre chien (social, tolérant, sélectif, solitaire) et offrez des rencontres sûres et positives avec des partenaires appropriés, en laissant de l’autonomie et en intervenant humainement si nécessaire. Le jeu est un besoin universel et peut s’apprendre si un chien ne sait pas comment faire.

9. Stimulation mentale : l’entraînement et la résolution de problèmes renforcent confiance et résilience.

Chaque fois qu’un individu apprend une compétence en travaillant pour obtenir ce qu’il veut, il est plus engagé mentalement et motivé que s’il apprend cette même compétence en travaillant pour éviter ce qu’il ne veut pas.

Exercer le cerveau. La stimulation mentale est aussi essentielle que l’exercice physique pour le bien-être du chien. Le manque d’engagement mental peut entraîner ennui, frustration et comportements problématiques. L’entraînement, les activités de résolution de problèmes et le travail olfactif sont d’excellents moyens d’y parvenir.

Un entraînement efficace. Les méthodes d’entraînement basées sur la science et le renforcement positif (modelage, leurre, capture) sont plus engageantes mentalement et renforcent la relation que les méthodes coercitives ou aversives (modélisation, pression-relâchement, punition). Apprendre en cherchant une récompense encourage la résolution de problèmes et l’enthousiasme, tandis qu’apprendre en évitant une gêne ne vise qu’à l’évitement.

Développer des compétences. Utilisez l’entraînement pour enseigner des compétences pratiques, des tours amusants ou même stimuler la créativité (comme « 101 choses à faire avec une boîte »). Les sports canins mentalement stimulants comme le pistage, l’agilité ou le Treibball combinent bénéfices physiques et mentaux. Offrir de l’autonomie dans l’entraînement et permettre les erreurs sans punition encourage l’expérimentation, renforçant confiance et résilience.

10. Enrichissement apaisant : la relaxation est une compétence vitale pour gérer le stress.

Parce que des niveaux élevés et prolongés de stress peuvent provoquer des troubles du comportement et même modifier durablement la chimie cérébrale, savoir se relaxer est essentiel pour chaque chien.

Réduction du stress. Les activités d’enrichissement apaisant aident les chiens à s’auto-calmer et à se détendre, ce qui est crucial pour réguler les hormones du stress et prévenir les problèmes comportementaux. Ce domaine est moins étudié chez le chien que chez l’humain, nécessitant observation et expérimentation pour trouver ce qui fonctionne pour chaque individu.

Modalités apaisantes. Explorez diverses options :

  • Odeurs : aromathérapie (lavande, camomille, vétiver), odeurs naturelles (herbe, vêtements portés par le propriétaire). Utilisez des senteurs diluées et observez les préférences.
  • Sons : musique classique, soft rock, reggae, livres audio (voix masculine), enregistrements de rires canins. Évitez le bruit constant.
  • Toucher : gilets de pression (Thundershirt), massage (massage canin, TTouch, Jin Shin Jyutsu). Assurez-vous que le chien apprécie le contact et ne le tolère pas seulement.
  • Léchage/mâchage : Kongs congelés, tapis à lécher, os crus, bâtons à mâcher. Ces activités semblent avoir un effet auto-apaisant.

Apprendre la relaxation. Offrez un espace sûr dédié au repos et aux activités apaisantes. Enseignez des signaux de relaxation ou capturez les signaux naturels de détente (soupirs, bâillements). Des protocoles comme ceux du Dr Karen Overall ou de Suzanne Clothier apprennent aux chiens à se calmer dans divers environnements, renforçant leur résilience.

11. Indépendance : enseignez des compétences pour l’autonomie et le confort en solitude.

L’indépendance ne s’acquiert pas par une pilule magique.

Une compétence acquise. L’indépendance, définie comme le confort d’être seul et la capacité à accomplir des tâches sans guidance humaine constante, est un ensemble de compétences à enseigner progressivement. Elle diffère de l’autonomie (faire des choix) mais en est renforcée.

Construire le confort en solitude. Aidez les chiens à se sentir à l’aise dans leur environnement en élargissant progressivement leur espace d’exploration avec des friandises. Lors de vos absences, offrez une « fête » composée de puzzles alimentaires de haute valeur, de jouets à mâcher ou d’objets destructibles pour rendre le temps seul gratifiant. Veillez à ce que toutes les récompenses alimentaires soient données au sol pour décourager le vol de nourriture sur les surfaces.

Compétences de vie pour l’indépendance. Enseignez des compétences pratiques et des comportements par défaut (comme s’asseoir ou se coucher quand ils ne savent pas quoi faire) qui permettent aux chiens de mieux naviguer dans le monde humain sans sollicitation constante. La généralisation des comportements dans divers environnements aide à renforcer ces compétences et à faire des choix appropriés de manière autonome.

Éviter la microgestion. Si la gestion est nécessaire pour la sécurité et la prévention des comportements indésirables, une microgestion excessive peut freiner l’indépendance et conduire à l’impuissance apprise. Cherchez un équilibre où le chien a des occasions de faire de bons choix seul.

12. En

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Avis

4.58 sur 5
Moyenne de 445 évaluations de Goodreads et Amazon.

L’enrichissement canin dans la vie quotidienne reçoit un accueil extrêmement favorable, les lecteurs saluant son approche pragmatique pour améliorer le bien-être des chiens grâce à des activités d’enrichissement. Les critiques apprécient la rigueur scientifique du livre, son style d’écriture accessible et son insistance sur une mise en œuvre réaliste. Nombreux sont ceux qui le recommandent comme une lecture incontournable pour tous les propriétaires de chiens, soulignant ses éclairages précieux sur le comportement et les besoins canins. Cet ouvrage est reconnu pour offrir une perspective nouvelle sur le soin des chiens, dépassant la simple éducation pour se concentrer sur la satisfaction des instincts naturels des animaux et l’amélioration de la relation entre l’homme et le chien.

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À propos de l'auteur

Allie Bender est l’auteure de Canine Enrichment for the Real World, un ouvrage largement salué dans le domaine des soins et du comportement canin. Bien que peu d’informations biographiques précises soient disponibles, son expertise en matière de comportement et d’éducation des chiens transparaît clairement à travers l’accueil favorable réservé à son livre. Professionnels et lecteurs, vétérinaires comme éducateurs canins, soulignent la pertinence de ses connaissances et la qualité de son approche. Son style d’écriture, à la fois convivial et accessible, permet de rendre des notions complexes compréhensibles pour un large public. Son travail repose sur des pratiques fondées sur des preuves et intègre des recherches scientifiques, témoignant d’une solide formation en sciences du comportement canin.

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