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The Art of Photography

The Art of Photography

An Approach to Personal Expression
par Bruce Barnbaum 1994 364 pages
4.28
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Points clés

1. La photographie est une forme puissante de communication non verbale.

La photographie est une forme de communication sans paroles.

Transmettre une pensée. Au fond, une photographie est un message que le photographe adresse au spectateur, à l’instar de la peinture ou de la musique. Les grandes photographies dépassent le simple sujet, permettant au regardeur de ressentir l’essence d’une personne, d’un paysage ou d’un instant, même s’il n’y était pas. L’artiste réussit à transmettre un message qui parle de lui-même.

Au-delà de la simple documentation. Si des millions utilisent un appareil pour des clichés rapides destinés à enregistrer des événements ou des lieux, la photographie signifiante va plus loin. Elle oblige le spectateur à voir autrement ce qui lui est familier, à découvrir l’inconnu ou à soulever des questions qui élargissent sa vision et sa réflexion. Le réalisme inhérent à la photographie lui confère une pertinence unique parmi les arts, capable de susciter un changement social ou une prise de conscience.

Lien personnel. Pour créer une photographie pertinente, le photographe doit comprendre profondément le monde ainsi que ses propres intérêts et opinions. Tout comme un orateur parle avec passion de son sujet, le photographe doit se concentrer sur des thèmes qui l’animent véritablement. L’enthousiasme est essentiel ; sans lui, le travail paraît laborieux et ennuyeux.

2. La composition est l’art de diriger le regard du spectateur.

Une bonne composition est la manière qu’a l’artiste de guider la vision du spectateur de façon planifiée, non aléatoire.

Contrôler la perception. L’œil humain perçoit par petites zones nettes et balaie la scène de manière erratique. La composition est la méthode du photographe pour ordonner ce processus, en conduisant le regard à travers l’image de façon maîtrisée, en mettant en valeur les éléments selon leur importance. C’est ce qui distingue l’artiste du simple amateur.

Pensée unifiée et simplicité. Une composition efficace exige un concept central ou une « pensée unifiée » qui relie tous les éléments, évitant ainsi une errance visuelle. Pour les débutants comme pour les photographes expérimentés, la simplicité est primordiale ; les images trop complexes échouent souvent car l’intention du photographe n’est pas claire.

Les éléments comme outils. Divers éléments servent d’outils à la composition :

  • Contraste et tonalité : orientent le regard vers les zones de fort contraste, instaurent une ambiance.
  • Ligne et forme : créent des tensions visuelles, de la stabilité ou du dynamisme.
  • Motif : établit des rythmes visuels par répétition et variation.
  • Équilibre : procure confort (symétrie) ou tension (asymétrie).
  • Mouvement : guide le flux du regard dans l’image.
  • Espace positif/négatif : définit les formes et les interactions entre sujet et arrière-plan.
  • Texture : ajoute du détail visuel captivant et du réalisme.
  • Position de la caméra et focale : déterminent la perspective et ce qui est inclus ou exclu.
  • Profondeur de champ et vitesse d’obturation : contrôles photographiques uniques pour netteté et mouvement.

3. La lumière est l’élément fondamental qui détermine la forme et l’ambiance.

La lumière détermine la forme.

Dessiner avec la lumière. La photographie signifie littéralement « dessiner avec la lumière ». Les films et capteurs enregistrent uniquement les niveaux de lumière, pas les objets. Les photographes avertis savent qu’ils photographient la lumière et la manière dont elle révèle ou émane des objets. La lumière est l’élément de composition le plus important car elle dicte l’apparence des lignes, formes et volumes.

Qualité plutôt que quantité. Une bonne lumière ne se résume pas à la luminosité ; c’est sa qualité – direction, couleur, netteté, diffusion – qui compte. Différents types de lumière évoquent des ambiances variées :

  • Lumière directionnelle forte (soleil, projecteurs) : crée du drame, révèle les textures (rochers, rides).
  • Lumière douce non directionnelle (ciel couvert, ombre ouverte, boîtes à lumière) : crée de la douceur, masque les imperfections, souvent plus contrôlable.
  • Contre-jour : peut créer des silhouettes ou des contours lumineux.
  • Éclairage axial : lumière venant derrière l’appareil, peut aplatir la scène mais révéler les qualités de surface.

Apprendre à voir la lumière. Savoir observer la lumière avec précision est crucial. Entraînez-vous à identifier les zones les plus claires et les plus sombres d’une scène. Comprenez comment la lumière évolue au fil de la journée et comment différentes conditions d’éclairage affecteraient un sujet. Cette conscience déplace votre regard de la simple capture à l’interprétation, utilisant la lumière pour exprimer vos émotions et commentaires.

4. La visualisation consiste à voir l’image finale avant la prise de vue.

Lorsque vous êtes derrière l’appareil, sur le lieu, vous pensez déjà à la manière dont vous imprimerez cette photographie.

Processus intégré. La visualisation est au cœur de la photographie créative, comprenant quatre étapes :

  1. Regarder et voir photographiquement : observation intense et analytique, au-delà d’un simple regard distrait.
  2. Composer une image : choisir la position de la caméra, l’objectif et le cadrage selon les relations visuelles.
  3. Imaginer le tirage final : traduire la scène en trois dimensions en une image en deux dimensions, en tenant compte des tons, contrastes et ambiance souhaités.
  4. Planifier une stratégie : déterminer l’exposition, le développement (pour le film) et les techniques d’impression nécessaires pour obtenir le résultat envisagé.

Au-delà de la scène. La photographie est distincte de la scène. Elle distille les informations visuelles et sensorielles non visuelles (sons, odeurs, sensations) en une image visuelle. Plutôt que de chercher à « capturer la scène », visez à transmettre l’ambiance qu’elle suscite en vous. Cela exige de dépasser la simple reproduction pour une interprétation personnelle.

Pré- et post-visualisation. Si la prévisualisation (planifier l’image finale à l’avance) est idéale, la post-visualisation (découvrir des possibilités lors du tirage ou du montage) est aussi valable. Cela peut inclure :

  • Découvrir des qualités inattendues dans un tirage.
  • Constater que le recadrage ou d’autres modifications renforcent l’image.
  • Combiner plusieurs images (comme en photomontage ou dans l’œuvre de Uelsmann).

5. Maîtriser l’exposition, c’est contrôler précisément, pas seulement mesurer.

Tous les posemètres gris font la même chose : ils calculent la moyenne de la lumière dans l’angle de mesure et indiquent l’exposition correcte pour la Zone 5.

Limites du posemètre. Un posemètre (ou « posemètre gris ») est un outil qui fournit l’exposition correcte pour un gris moyen (Zone 5) en fonction de la lumière reçue. Il ne comprend pas le sujet. Suivre aveuglément le posemètre peut entraîner des erreurs d’exposition, notamment avec des sujets très clairs ou très sombres (par exemple, la neige en plein soleil mesurée comme grise).

Logique du Système des Zones. Le Système des Zones offre un cadre pour un contrôle précis de l’exposition en reliant les niveaux de lumière de la scène aux valeurs tonales du tirage final. Chaque « zone » représente un doublement (ou une division par deux) de la lumière, équivalent à un diaphragme ou un cran de vitesse. En mesurant une zone spécifique et en connaissant sa valeur tonale désirée, on peut ajuster la lecture de la Zone 5 du posemètre en conséquence.

Au-delà du littéral. Le Système des Zones n’est pas seulement pour des expositions réalistes ; c’est un outil créatif pour s’éloigner de la réalité. On peut volontairement exposer certaines zones plus haut ou plus bas que leur luminosité réelle pour obtenir un effet voulu (par exemple, rendre une forêt sombre en clair-obscur). La précision permet à la fois une représentation fidèle et une transformation imaginative.

6. Le développement du négatif ou le traitement numérique contrôlent le contraste et la gamme tonale.

En variant la durée du développement du négatif, on peut augmenter ou diminuer le contraste du négatif noir et blanc.

Façonner la partition. En photographie argentique, l’exposition crée l’image latente (la « partition »), mais le développement façonne son contraste (« la performance »). Le temps de développement agit principalement sur les zones claires (hautes lumières), tandis que les zones sombres (ombres) dépendent surtout de l’exposition.

  • Développement réduit (moins) : diminue le contraste, compressant la gamme tonale.
  • Développement normal : conserve le contraste de la scène.
  • Développement prolongé (plus) : augmente le contraste, élargissant la gamme tonale.

Gamme étendue. Les négatifs noir et blanc capturent une gamme de luminosité bien plus large (16-18 zones) que le papier ne peut en afficher (10 zones). Comprendre le développement du négatif permet de compresser cette gamme pour l’adapter au papier ou de l’étendre pour un effet dramatique. Des techniques comme le développement compensateur (utilisation d’un révélateur dilué et agitation minimale) peuvent réduire fortement le contraste dans des scènes à fort contraste tout en préservant les détails.

Flexibilité numérique. Le traitement numérique offre un contrôle immense sur le contraste et la gamme tonale. Les fichiers RAW capturent une large plage (bien que généralement moins que le film en une seule prise), et les logiciels permettent d’ajuster précisément hautes lumières, ombres, tons moyens et contraste global. Les prises multiples (HDR) peuvent étendre la plage numérique pour englober même les scènes les plus contrastées, offrant une flexibilité comparable, voire supérieure, à celle du film.

7. Le tirage est la création artistique finale, façonnée par les techniques de laboratoire ou numériques.

Le tirage est votre création, et vous êtes libre d’en faire ce que vous voulez.

La performance. Le tirage est l’aboutissement du processus photographique, où la vision du photographe s’incarne pleinement. C’est là que la « partition » (négatif ou fichier numérique) est interprétée et jouée. Rarement un négatif ou un fichier se traduit directement en un tirage parfait sans manipulation.

Techniques essentielles. Les outils du laboratoire et du numérique servent à modeler la lumière et le ton :

  • Densitométrie locale (dodge) : bloquer la lumière pour éclaircir certaines zones.
  • Assombrissement local (burn) : ajouter de la lumière pour assombrir des zones.
  • Flashage : ajouter une lumière uniforme pour augmenter la densité des hautes lumières (traditionnel).
  • Masquage : utiliser un second négatif ou calque numérique pour contrôler le contraste ou isoler des zones.
  • Réduction (décapage) : éclaircir chimiquement certaines zones (traditionnel).
  • Contraste variable : contrôler le contraste localement ou globalement (traditionnel/numérique).

Au-delà de la scène. La manipulation ne sert pas seulement à corriger exposition ou développement ; c’est un acte créatif pour renforcer l’ambiance, diriger le regard, voire créer une scène inexistante. L’objectif est un tirage qui transmet le sentiment désiré, même s’il s’éloigne notablement de la réalité. La manipulation doit rester invisible, au service de l’image, sans attirer l’attention sur elle-même.

8. La couleur ajoute une couche profonde de composition et d’émotion.

Les connotations émotionnelles ainsi que certains éléments de composition liés à la couleur n’ont pas d’équivalent en noir et blanc.

Un médium différent. La photographie couleur est fondamentalement différente du noir et blanc. La couleur doit être un élément central et captivant, pas simplement présente. Choisir entre couleur et noir et blanc revient à décider quel médium sert le mieux le sujet et votre vision.

Composition en couleur. La couleur agit comme un puissant outil de composition :

  • Lignes et formes colorées : guident le regard comme les variations tonales.
  • Contraste de couleur : les couleurs opposées créent un impact visuel ; les couleurs proches, une harmonie.
  • Équilibre et saturation des couleurs : influencent l’ambiance et l’impact visuel.
  • Relations colorées : répétitions et échos créent des rythmes visuels.
  • Espace positif/négatif : peut être défini par des familles de couleurs contrastées.

Couleur et ambiance. Les couleurs suscitent des réponses émotionnelles et physiques fortes. Les couleurs « chaudes » (rouges, jaunes) sont actives et peuvent évoquer chaleur ou agitation. Les couleurs « froides » (bleus, verts) sont passives et peuvent suggérer calme ou distance. Comprendre ces associations permet d’utiliser la couleur pour renforcer l’ambiance souhaitée.

9. Abandonnez les règles arbitraires et les mythes ; adoptez votre vision personnelle.

Évitez les règles. Évitez les formules.

Les règles limitent. Des règles arbitraires comme la « règle des tiers » ou « l’horizon ne doit pas diviser le cadre » sont sans fondement et étouffent la créativité. Elles conduisent à des résultats prévisibles et médiocres. Une bonne composition est simplement « la manière la plus forte de voir », qu’elle suive ou rompe une règle.

Mythes démystifiés :

  • Le Système des Zones donne des tirages droits : faux. L’appareil voit différemment de l’œil ; un travail en laboratoire ou numérique est nécessaire pour correspondre à la vision.
  • Il n’y a que 10 zones : faux. Les négatifs enregistrent 16-18 zones ; le papier ou le numérique peuvent en afficher plus avec manipulation.
  • Les ombres doivent être à la Zone 3 : faux. La Zone 4 ou plus offre une meilleure séparation des ombres sur le négatif.
  • Les négatifs doivent avoir une plage de densité fixe : faux. La densité varie selon le sujet et l’interprétation souhaitée.
  • Les épreuves doivent avoir la même exposition : faux. Les épreuves nécessitent des expositions variables pour montrer les détails des négatifs de densité différente.
  • Les beaux paysages ne se photographient qu’au lever ou coucher du soleil : faux. Une bonne lumière et de bonnes conditions existent toute la journée.
  • Les tirages noir et blanc ont besoin de noir, blanc et tons : faux. La gamme tonale doit correspondre à l’ambiance désirée.

Vérité personnelle. Votre point de vue et votre réponse sincère à une scène sont primordiaux. Ne cherchez pas à créer ce que les autres attendent. Mettez en avant ce qui vous touche le plus. Soyez conscient de votre intention et exprimez-la clairement et simplement, même si elle traduit confusion ou complexité.

10. La créativité naît du désir, de la pensée, de l’expérience, de l’expérimentation et de la conviction intérieure.

La créativité est le fruit du désir, de la pensée, de l’expérience, de l’expérimentation et de la conviction intérieure.

Au-delà de l’originalité. Si l’art occidental valorise l’originalité, la créativité dépasse le simple fait de faire du neuf. C’est une exploration ou une quête du monde, des émotions et des fantasmes, donnant naissance à des formes qui expriment les sentiments humains. Elle exige intelligence et engagement.

Cultiver la créativité :

  • Désir : une poursuite active, non une attente passive.
  • Pensée : planification, raisonnement et exécution soignés ; comprendre l’histoire comme tremplin.
  • Expérience : libère des bases mais attention à la stagnation.
  • Expérimentation : volonté d’essayer malgré le risque d’échec.
  • Conviction intérieure : suivre sa vision personnelle et son sens du but, même sans validation extérieure.

Surmonter les obstacles. Les freins incluent la résistance à l’essai, le manque de temps et l’opposition extérieure aux nouvelles voies. La créativité se nourrit en se poussant (sans pression) et en consacrant suffisamment de temps à la réflexion et à la pratique.

11. Le pouvoir unique de la photographie réside dans son réalisme perçu, même en abstraction.

La photographie est la plus puissante lorsqu’elle transmet un sens de réalité et de crédibilité, et non lorsqu’elle dérive vers une illogique tonale ou colorée ou une absurdité totale.

Impact du réalisme. La précision visuelle inhérente à la photographie lui confère un pouvoir immense. Même les images manipulées sont souvent perçues comme une vérité littérale, permettant au photographe d’altérer la réalité tout en la présentant comme réelle. Ce pouvoir peut servir la documentation, le commentaire social ou l’expression artistique.

Force de l’abstraction. Si le réalisme est puissant, l’abstraction en photographie bénéficie aussi de cette perception. Une photographie abstraite, contrairement à une peinture abstraite, est toujours « de quelque chose de réel », ce qui lui confère un sens de réalité pouvant renforcer sa signification et son impact. L’abstraction ouvre à une interprétation plus large, invitant le spectateur à apporter ses propres insights.

Au-delà de la documentation. Pour atteindre le niveau artistique, une photographie doit dépasser la simple documentation. Elle nécessite un saut d’imagination, une sensibilité accrue, du mystère, de la surprise ou un fort sentiment de drame ou de calme. Elle doit être plus qu’un simple enregistrement d’une personne, d’un lieu ou d’une chose.

12. L’intégrité artistique consiste à être fidèle à sa vision et à communiquer efficacement.

En fin de compte, le produit final est un tirage photographique, et vous souhaitez présenter le meilleur produit possible.

Honnêteté dans la vision. L’intégrité artistique signifie être honnête avec sa vision et la poursuivre, même si cela implique une manipulation poussée ou suscite la controverse. La question n’est pas « Comment cela a-t-il été fait ? » mais « Quelle est ma réponse à cela ? » L’objectif est de créer une expérience émotionnelle satisfaisante pour le spectateur.

Rôle de la communication. Si l’art est communication, dans quelle mesure doit-on privilégier la

Dernière mise à jour:

Avis

4.28 sur 5
Moyenne de 1.6K évaluations de Goodreads et Amazon.

L’Art de la Photographie de Bruce Barnbaum est salué pour ses éclairages profonds sur l’expression créative et les aspects techniques de la photographie. Les lecteurs apprécient le style littéraire de l’auteur ainsi que la richesse de son approche, qui couvre aussi bien les techniques argentiques que numériques. Beaucoup considèrent cet ouvrage comme l’un des meilleurs dans le domaine, notamment grâce à ses réflexions sur la composition, la visualisation et l’intégrité artistique. Si certaines parties centrées sur la photographie argentique peuvent sembler moins pertinentes aujourd’hui, le livre reste une source précieuse de sagesse pour développer un style personnel et nourrir sa créativité. Quelques critiques pointent toutefois une certaine répétitivité et un ton parfois un peu condescendant envers les débutants.

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À propos de l'auteur

Bruce Barnbaum est un photographe américain de renom, ainsi qu’un enseignant et écrivain respecté. Fort d’une formation en mathématiques, il s’est imposé comme une figure incontournable dans le monde de la photographie. Bruce Barnbaum est particulièrement reconnu pour ses photographies de paysages et d’architecture, ainsi que pour sa maîtrise du Système de Zones et des techniques de chambre noire. Auteur de plusieurs ouvrages à succès, tels que L’Art de la photographie et L’Essence de la photographie, il allie avec brio savoir technique et expression artistique. Très sollicité en tant que formateur et conférencier, il a vu ses œuvres exposées à de nombreuses reprises et continue d’inspirer les photographes à travers ses ateliers et ses écrits.

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